CcomOciné, un film d’aventure qui remonte à 2008…
« L’aventure CcomOciné a démarré en 2008 », se souvient Frédéric Blanc, le gérant de cette entreprise spécialisée dans la conception de fauteuils et l’aménagement de salles de cinéma privées.
C’est l’histoire d’un électricien…
Avant que cette société ne voit le jour, Frédéric Blanc, électricien de formation, s’était questionné sur ses projets. Passionné de cinéma, il avait tenté l’expérience avec quelques essais de conception de produits. « J’ai commencé à créer quelques fauteuils puis à les mettre en vente sur Ebay. J’ai vu qu’il y avait un intérêt de la part des gens et c’est comme ça que ça a démarré », résume-t-il. Encouragé par sa clientèle naissante, Frédéric Blanc n’avait pas hésité à se lancer, s’entourant de professionnels tout aussi passionnés que lui, parmi lesquels Stéphane Lambert, qui l’assiste depuis les débuts de l’aventure sur de nombreux plans, dont la communication et l’aspect commercial.
Salles de cinéma privée : « Il y a un intérêt de la part des clients »
« À l’époque, il n’y avait pas grand monde qui proposait des accessoires. Aujourd’hui, il y a plus de concurrence parce qu’il y a un intérêt de la part des clients », reprend le gérant, spécialisé de son côté dans la mise au point des produits CcomOciné. L’atout de sa société ? Une fabrication 100 % française, des matières premières de qualité et dont la provenance est contrôlée. « Au niveau des fauteuils, nous ne sommes pas nombreux, c’est beaucoup d’importation. On doit être 2 ou 3, dans l’Hexagone, à proposer une fabrication française », précise Frédéric Blanc. Petit plus, le service personnalisé permettant la réalisation du projet du client, de son balbutiement jusqu’à l’installation finale. Les conseils, eux, n’ont pas de durée limitée dans le temps : les clients pourront toujours compter sur Frédéric et Stéphane pour leur faire part de précieux avis et pour les informer des actualisations possibles de leurs salles de cinéma.
Pour tous les budgets, un espace entièrement dédié au loisir
Que ce soit pour un petit équipement ou pour une création du sol au plafond, il est permis de rêver : un espace dédié au loisir, chez soi, à son. Des centaines de produits sont aujourd’hui imaginés et fabriqués en atelier, sur place, à Saint-Rémy-de-Provence (Bouches-du-Rhône), par une équipe familiale et toujours disponible. « Tout est fabriqué ici de A à Z. Pour la structure en bois, on a l’atelier menuiserie. L’atelier mousse permet le moussage des pièces, mais il y a aussi l’atelier couture, assemblage », explique Frédéric Blanc.
Un espace ouvert au public de 1.200 m2
Parce que la société CcomOciné tient à rester une entreprise transparente avec sa clientèle, un showroom de 1.200 m2 a été créé pour pouvoir observer le savoir-faire des professionnels. Avant d’investir, le client peut ainsi venir constater par lui-même l’ampleur du site et toutes les étapes de fabrication d’un fauteuil, qu’il soit motorisé ou non. Parmi les projets du gérant, l’agrandissement des ateliers : « On n’a plus de place », commente-t-il. L’installation de nouvelles machines, pour la mise en œuvre de nouveaux services, devient même indispensable, pour l’équipe.
Notre force, c’est de tout fabriquer nous-mêmes
Un atout de taille : une fabrication maison pour un service sur-mesure
« Notre force, c’est de tout fabriquer nous-même. De fait, on maîtrise la qualité de nos produits. On s’améliore sans cesse même au niveau des fauteuils que l’on fabrique depuis dix ans. Nous tenons compte des remarques des clients, cela nous permet de modifier, de faire progresser la qualité des produits », énumère Frédéric Blanc. Il y a bien sûr l’existant, mais l’entreprise ne reste pas sur ses acquis, bien au contraire. L’objectif est de poursuivre une démarche du « tout fait maison ». Le gérant développe : « On a longtemps acheté tous les éclairages mais on commence à les fabriquer nous-même. Petit à petit, on commence à créer nos propres modèles, comme, par exemple, avec les globes en verre ».
Un produit unique chez soi à un prix raisonnable
L’avantage de la fabrication sur place réside dans le fait de pouvoir proposer des pièces uniques, que le client ne trouvera nulle part ailleurs. Et, pour le fabriquant, de ne pas s’exposer à des concurrents rivalisant sur des tarifs d’importation plus avantageux : « On ne se retrouve pas, avec l’importation, à proposer les mêmes modèles que les autres. On ne se retrouve pas non plus à pratiquer la guerre des prix parce que ce qui nous intéresse, c’est l’originalité des produits ». En résumé, les dirigeants de CcomOciné préfèrent se concentrer sur leur production et des projets porteurs, dont l’achat de nouvelles machines : « Le fait de s’équiper de machines nous offre la possibilité de pouvoir fabriquer des produits plus facilement ».
Testés et approuvés : le VIP et le Kosy
À la question des produits incontournables, il est bien sûr question des fauteuils motorisés de luxe. Deux modèles se démarquent, même si tous sont appréciés pour leurs spécificités. « En fauteuils, puisque c’est notre principale activité, on a le VIP, c’est celui qu’on vend le plus. Côté nouveaux produits, c’est le Kosy. Ce sont les deux modèles qui se détachent, leur design et leur confort plaisent au client. Le Kosy, pour l’accueil du fauteuil. Après, les fonctions qu’on a sur les fauteuils attirent aussi le client. Tout est motorisé. On a des positions enregistrables, au niveau des repose-jambes, de l’appui-tête », indique Frédéric Blanc. En résumé, l’utilisateur enregistre sa position favorite et n’a plus qu’à appuyer sur un bouton pour y avoir accès.
La meilleure des publicités, celle réalisée par le client
Depuis ses débuts, CcomOciné a su s’imposer dans son domaine comme une entreprise fiable, avec des professionnels à l’écoute de leur clientèle. À tel point que c’est cette dernière qui a façonné la bonne réputation de l’entreprise. « Le point fort, c’est que ce sont nos clients qui font notre publicité. On n’en a jamais vraiment de notre côté. On a un service après-vente exemplaire. On essaie de satisfaire au maximum le client et on a de très bons retours », résume Stéphane Lambert.